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Moteur JLS
D'après les plans de Jean-Luc Soumard.
Ce moteur n'est pas facile à réaliser, mais il a un charme fou. J'en ai réalisé deux déjà.
Détail des fameuses coulisses de Stephenson. Je vous montre ma méthode pour les réaliser plus bas
Usinage des cylindres
Les cylindres sont un assemblage mécano-brasé constitué de 5 pièces
Détail d'un échappement vapeur.
Si comme moi, il vous arrive de casser un foret dans du laiton ou un cuivreux, sachez qu'en laissant la pièce trempée dans l'eau de Javel concentrée, le foret s'oxyde rapidement (comptez quelques jours tout de même).
Un morceau du foret.
L'eau de Javel a donné une couleur bleutée au laiton, mais après nettoyage, tout redeviendra normal.
Le foret est enfin sorti, la lumière passe.
Détail de l'usinage des cylindres.
Usinage des coulisses de Stephenson.
Ma méthode est empirique mais ça marche. Quand on a pas de table rotative il faut se débrouiller.
Les photos parlent d'elles mêmes.
Le résultat n'est pas si mal.
Vilebrequin
Généralement, je le réalise par collage, goupillage, mais parfois, quand j'ai du courage et la matière je le taille dans la masse. Montée d'adrénaline garantie...
Bâti moteur.
Il est réalisé par fraisage et avec une fraiseuse comme ma X2 c'est très long. L'idéal serait de mouler cette pièce. J 'y pense.
Les glissières
Jusque là je les réalise conformes au plan par mécano brasage, mais je pense à les couler directement grâce à mon four à métal.
Les pièces constituant une glissière avant brasage.
Glissières après brasage.
Autres pièces en vrac.
Tiroirs. Je les usine par 2, c'est plus simple à brider car ces pièces sont toutes petites.
Diviseur fait maison, grâce à une roue dentée récupérée chez un ferrailleur.
Biellettes de coulisses.
Les boîtes vapeur.
Les excentriques doubles sont taillés dans la masse en prenant des repères sur le mandrin du tour.
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